i see dead firewalls

À mort le corporate : je veux retourner coder dans les bois. Nomade avec un laptop en bandoulière, et des cartons de pizza en guise de pagne. Je me balancerai d’hyper-liane en hyper-liane en sirotant du café. Personne ne me dira de développer des softs sans avoir le début d’une idée de ce qu’ils sont censés faire en interne… Et j’aurai le droit de vivre la nuit. Adieu stupide étoile brillante et brûlante. Vive le LCD.

C’est marrant, il y’a sûrement des boites où tout est super carré partout, et où on sait précisément ce qu’on doit faire, même s’il faut le faire pour hier. Ici les gens qui peuvent répondre aux questions des developpeurs, ou fournir des specs techniques détaillées, sont soient malades, soit en vacances. C’est seulement vrai pour le projet sur lequel je travaille en fait, les autres ont l’air plus heureux. Ils jouent au ballon entre les bureaux, tout va bien. Les petits développeurs mal informés en revanche sont rapidement passés en mode panique : pas rasés, énervés, cyniques, etc.

Oh je dis ça, c’est pas comme si j’étais en première ligne. De toute façon c’est à ça que servent les stagiaires, et puis j’adore lire du code source perl à longueur de journées pour tenter de comprendre l’architecture… Comme si le perl était fait pour être relu. Grmbl. :)