on me dit que...

“Oz tu parles pas beaucoup, mais tu blog. C’est bien ça compense.”
En fait, vous êtes trop bavards voilà tout, et si je parle pas beaucoup, c’est surtout parce-que j’ai la gorge explosée par la crève. Je vous ferai chanter moi avec 3 kilos de harissa entre les cordes vocales.

La soirée d’hier a donc été un peu longue, surtout passer tout plein de temps à attendre que ze finisse son dernier dessert. Salaud. Mais il s’est degonflé il s’est arrêté à 4. Longue donc, parce-qu’elle s’est finie tard.
Chez Flams ils ont la facheuse manie de vendre leurs formules à volonté. Du coup, la gentille serveuse - qui troublait si fort jadawin avec son p’tit nombril et ses yeux tous bleux comme l’océan… gnagnagna - nous aimait beaucoup moins sur la fin.

Ce matin donc, levé à 7:00 par le mégaphone qui me sert de réveil. De mauvaise humeur lui aussi, il s’est mis à parler d’Irak et de morts avant de passer au jazz approprié pour le matin.
Suivent 15-20 minutes de sifflements, de grincements, de gens pressés… de métro donc, avant de retrouver un siège pour bronzer devant les radiations des Dells.

Lire quelques blogs, récuperer des liens idiotsindispensables. Geradon a viré les comments, et c’est tant mieux parce-qu’il y’en avait trop.

Juste le temps de me dire que je me prendrais bien mon nom de domaine à moi, mais c’est le matin j’ai des idées bizarres.

coin!?