demain

C’est agréable la province parfois. Surtout les soirées avec pleins d’amis dans les p’tits bars de Clermont. Parce-qu’il y’a des gens qu’on ne retrouvait plus et qui réapparaissent sans crier gare. Parce-qu’à côté de Paris, les prix sont presque divisés par deux. Rester raisonnable demande un entrainement et une condition mentale assez particulière qu’il m’a fallu des années pour mettre au point. D’ailleurs ça marche (rarement), puisque je me rappelle de ce que j’ai fait hier soir. C’est bon signe. A part mon p’tit déjeuner à base d’efferalgan le week-end s’écoule doucement et j’ai une petite idée de quoi en faire. Les choses se mettent en place d’elles mêmes sans que j’ai à les y inciter : bliss.
Il paraît que demain on se retrouve au 14 juillet. C’est pour ça qu’on ne va pas bosser soi-disant. C’est une mauvaise excuse, mais personne n’a pu trouver mieux pour faire une pause. Et j’ai bien envie de boycotter : trop chaud, trop la flemme, ’marre de voir les mêmes feux d’artifices depuis des années surtout.
On verra demain en fait.