forcage de cravaillement : le divorce.
October 24, 2003On ne devrait pas se forcer à travailler : de la même façon qu’on traque les
braqueurs de banques, et les stations Windows de l’insia, le travail forcé
devrait être interdit fermement.
En aucun cas, je ne veux faire l’apologie de la paresse. Non, ici je parle
juste de non-travail. C’est différent puisque ça ne s’écrit pas pareil
(argument imparable #1), et qu’enfoncé dans un fauteuil, les pieds sur le
radiateur on se demande comment on pourrait ne serait-ce qu’envisager les
choses différemment (argument imparable #2). Notre societé se base
énormément sur le travail, et la consommation : ces deux choses prises
séparemment n’ont rien de pénible (quoique…), par contre lorsqu’on a la
mauvaise idée de les combiner on obtient un couple de lourds averés. L’ennui
dans les couples, c’est que souvent ils ont des enfants. Joueurs, éveillés,
mignons, voire même intolérables. Le forcage de travaillement n’aurait donc
plus lieu d’être si on se contentait de consommer sans travailler.
Aussi, camarades camarades (belges belges ?) je lance un appel à l’arrêt du
travail à partir de lundi matin. La grève étant mieux reçue quand elle on lui
fixe une durée limitée, je propose un débraillage de cinquante ans. D’ici
là, bonne consommation.
Note aux étudiants de l’insia : pas vous, au travail fainéants ! :)