Trying to hard

January 5, 2005

Il est 18 heures, après un rapide coup d’oeil sur la météo locale, par la fenêtre, je décide qu’il ne pleuvra pas avant au moins 15 minutes. Amplement suffisant pour arriver au sec jusqu’à la bouche de métro de la Grande arche. Sauf qu’il faut que je passe chez moi chercher du liquide histoire de pas arriver les poches vides au café puce. Détour donc.

Evidémment il pleut. De Père Lachaise à Saint-Maur, sur ma pomme et celle des autres. De toute manière je n’oublie mon pépin que quand il va pisser. Vautré dans les fauteuils de cuir, après une Chimay bleue ça va mieux (note pour plus tard : breveter ce slogan idiot) sauf que non. Je suis crevé, aussi bien dans le sens malade, que fatigué. Le temps de changer l’alcool en sucre, d’accompagner djam du côté de Ménilmontant pour manger rapidement, et je peux enfin retrouver mon chez moi.

L’erreur à ne pas faire alors et que je m’empresse de commettre c’est d’allumer le portable. Vers une heure du matin, partagé entre CSS et Divx : ce qu’on pourrait résumer par “glander”; je finis par me lasser. Dormir moins de 6 heures ça devrait être interdit, mais les journées sont tellement courtes qu’on a pas trop le choix. Et là, j’ai une seule envie : dormir. Encore.