Devinez quel jour on est ?

Il est un peu plus de sept (putain d’) heures quand je me réveille. C’est là que le cauchemar commence : ce soir à la place du cours de « Réseaux pour les nuls » il y’a une énorme galère : la soutenance de stage. Ce truc s’est installé tout seul sur mon emploi du temps m’empêchant d’occuper intelligemment ces dernières heures de cours.

Je commence à me réveiller vraiment en arrivant à l’Insia : je me rend compte que j’ai une cravate attachée vite fait autour du cou, et une envie dévorante d’être ailleurs. Ça arrive, surtout le lundi. Jour maudit où l’on peut se livrer tout entier au privilège de la servitude. Je retrouve jadawin qui est resté bloqué en mode week-end devant une machine. Aller-retours entre la machine à café et la salle où un professeur pourtant très gentil brille pour la première fois de l’année : absence. Merci de nous faire ramper jusqu’ici pour rien. Retour en salle machine, coma.

Avec un peu de chance je serai plus réveillé pour le début de ma soutenance…