Voice changer

Week-end pluvieux passé au chaud. Entre d’énormes bols de chocolat chaud, un portable, et suffisamment de musique pour tenir deux jours dans mon coin sans avoir tellement envie de mettre le nez dehors. Hier soir je suis quand même allé faire un tour dans Paris, accompagné de djam. Pour le coup, j’ai appris que samedi c’était l’anniversaire d’alexx, qu’en sigl aussi on s’ennuie pas mal, malgré la propension empirique de certains profs à vous couvrir de “rendus” (rien à voir avec l’alcool).

Résultat des courses, on avait froid hier soir. Le café/resto libanais en bas de la rue de bagnolet a fermé juste quand on voulait y’aller, du coup on s’est promené un moment entre les gouttes, avant d’atterrir au Rouge limé. Le temps de prendre un verre, puis translation vers un Mac Junk, puis… au Sacré-coeur. La honte : j’y avais jamais mis les pieds depuis le temps qu’ils traînent dans Paris. Mis à part une énorme basilique, il y’a surtout une vue géniale.Ouais, c’est chiant de cliquer hein ? Moi ça m’amuse en fait. Ce matin j’étais pas non plus super partant pour aller en cours… pas plus qu’un certain jadawin qui d’ailleurs n’est pas là pour m’empêcher de le dire. :) Reste que je n’avais plus rien à lire, alors je me suis decidé lentement à me lever et à essorer encore un peu plus ma carte bleue. Monde de merde infâme où il faut payer pour tout et n’importe quoi.

L’ennui c’est que j’ai une femme et des enfants un blog à nourrir moi monsieur. Donc direction le point de net le plus évident : Insia. Les gens s’imaginent qu’on va à l’école pour suivre des cours. Mais c’est plus une question technique, voire sociale dans les cas extrêmes. Je fais le tour de la bulle rapidement mais ze reste bloqué sur le mode va-en-cours. Bon bon… Pourquoi pas.

Cours de “Stratégie RH”. Ça veut dire Ressources Humaines, pas Red Hat ce serait trop beau. Je crois que c’est le dernier d’une petite série de trois. L’intervenant qui est un monsieur très gentil en plus de pas être complètement con (à son âge ce serait triste) nous file des tests psycho-trucs d’embauche. On remplit, il nous donne les clefs pour décrypter les chiffres et les petits graphes qu’on a fait. Maintenant on sait. C’est pas brillant comme boulot, mais j’imagine que c’est comme partout. On vous donne des tas de méthodes empiriques avec un petit côté scolaire et au final chacun fait comme il sent.

Le meilleur dans tous ça, c’est que j’ai réalisé qu’on avait une vingtaine de pages à rendre par petits groupes de 4~5 pour aujourd’hui dans le cadre du cours de “création d’entreprise”. Ah oui, et je blog au lieu d’être en cours de maths aussi. Mais il faut dire que la “personne” qui nous sert ces statistiques bolognaises n’a rien de très intéressant. Bref, on s’y retrouve comme d’habitude : je me fais chier.