Petits bonheurs

August 27, 2007

Depuis cet été, on a des emmerdes avec la plomberie de l’appart. Apparemment la voisine du dessous n’apprécie pas. Celle (celui ?) du dessus a l’air absent est continue donc d’infiltrer de l’eau dans nos murs qui dégouline ensuite chez la voisine du dessous qui n’est toujours pas contente.

J’adore mon appartement, au bout d’un mois tu deviens très très blasé par le tout, et tu finis par penser que le plus simple ce serait d’acheter des pots de peinture blanche, de passer un vendredi à repeindre le tout, et de se barrer.

Evidémment mon changement de taf en avril ça veut dire période d’essai jusqu’à fin septembre, et pas question d’espérer ne serait-ce que déposer un dossier dans une agence avec ce statut on ne plus précaire. Enfin si, on peut aisément plus précaire, mais c’est Paris ici ma bonne dame, la plus belle ville du monde, la tour Effeil, le Louvres, et tout un tas de trucs prétentieux. Patience donc, dans quelques temps, on aura de quoi se barrer.

En attendant, il faut faire avec.

Pour pimenter un peu notre week-end, le courant a sauté samedi. Et pas moyen de le remettre en marche en rentrant. Du coup, j’ai tout débranché dans l’appart, puis coupé les différents circuits arriants jusqu’au compteur pour isoler en 30 secondes celui qui faisait sauter les plombs. C’est celui qui est dans notre chambre honteusement chargé par un réveil qui ne répond plus. En fait dans notre chambre on a 2 circuits, un vieux (“vieux” comme dans gaines en tissu hein, vieux de chez vieux) qui est donc cliniquement mort, et un plus récent qui lui se porte très bien et nous permet de glander encore au lit devant un DVD. :)

En attendant, il faut faire avec.

Pour pimenter un peu le lundi, on s’est aperçus hier soir que le ballon d’eau chaude a décidé de ne plus faire que de l’eau… tiède. Bon ok, plutôt froide ; en fait, ça réveille vraiment le matin. Heureusement qu’on est encore en été… Euh attendez une minute.

Non mais je veux pas faire avec. Je vais me munir d’une batte finement cloutée et aller retourner les rotules de ces gens qui osent en plus augmenter le loyer.