Garglouglougl

… c’est mon ventre qui me signale son mécontentement, et ce depuis qu’il s’est mis en grève sans préavis dans la nuit. Grâce à la puissance étonnante de mon cerveau réptilien (non ?), j’en arrive à l’idée que les événements suivant sont tous un peu liés :

• Déjeuner dans un chinois-chelou comme on les aime.
• Finir la journée par un (des) verre(s) avec des collègues de Yoolink
• Oublier de manger avant de se retrouver devant quelques bières.

Résultat, moi qui ne chope jamais que les crèves qu’on me refile dans les transports ou au bureau, je me retrouve avec une « crise de foie. » Un vendredi. Attendre le week-end pour être malade c’est un peu le comble de la conscience professionnelle… mais on ne m’y reprendra pas deux fois. :)

Grml.